Du Domaine Paradiziak

Du Domaine Paradiziak Rottweiler

Rottweiler

L'arrivée de votre chiot dans votre foyer.

L'arrivée de votre chiot dans votre foyer.

Vous avez pris un chiot chez nous et nous vous en remercions. Nous nous engageons à vous accompagner dans cette formidable aventure.

L'arrivée du chiot dans votre foyer est une étape très importante dans son intégration à votre famille, vous le savez, et vous attendez ce jour avec impatience depuis plusieurs semaines. 

Vous avez envie de le prendre sans cesse dans vos bras et d'interragir avec lui, mais s'il vous plait, laissez-le d'abord découvrir son nouvel environnement. Mettez-vous un peu à sa place, il vient de perdre sa famille, ses frères et soeurs, son cocon; il risque d'être un peu perdu. Soyez donc tolérant les premiers jours pour lui laisser le temps de s'acclimater, ne forcez pas les câlins, il va très vite venir de lui-même les réclamer. Il vous sera recommandé de poser des vacances ou d'aménager votre quotidien lors de son arrivée afin qu'il ne soit jamais seul dans un premier temps. 

Tout d'abord, montrez-lui l'espace qui lui sera réservé (son panier, ses jouets, son "coin à lui" que vous aurez au préalable aménagé.) puis laissez le découvrir en toute sécurité son foyer. Vous aurez pris soin de ranger avant son arrivée tout ce que vous voudrez protéger. Vous aurez enlevé les objets et les produits dangereux. Vous enleverez également de son environnement toutes les affaires qu'il ne doit pas toucher. A titre d'exemple, un chien qui n'aura pas eu l'occasion de manger vos chaussures petit, vous aurez deux fois plus de chance pour qu'il n'y touche jamais à l'avenir. Les bonnes et les mauvaises habitudes se prennent très tôt; ne laissez donc à sa portée que ce qu'il lui sera autorisé de toucher. Cela évitera des conflits inutiles et des risques pour sa santé. 



 

Les premières nuits.

Les premières nuits.

Vous venez de prendre un très jeune chien, je vous l'accorde, vos premieres nuits vont être très certainement entre-coupées. Il s'agit du temps nécessaire à son acclimatation et votre chiot va vite prendre le rythme, ne vous inquietez pas. Pour les premières nuits, nous vous recommandons de prendre le chiot à vos côtés. Il n'a jusque là jamais dormi seul et il risque de s'inquiéter un peu. Votre présence sera essentielle.  Il ne s'agit bien entendu pas de le faire dormir dans le lit, mais encore une fois de lui aménager un "coin à lui" dans votre chambre. L'avoir à vos côtés, c'est aussi et surtout la possibilité de l'entendre tout de suite lorsqu'il se réveille et pouvoir prendre le temps de le faire sortir faire ses besoins la nuit. Ca sera votre meilleur allié pour la propreté. 

Les premieres nuits, il est fort probable que votre chiot vous réveille trois ou quatre fois, mais très vite, il ne vous réveillera plus qu'une fois ou deux; jusqu'à faire des nuits complètes (et propres) !

C'est une concession importante à faire sur le démarrage, sacrifier un peu de votre sommeil les premiers jours, mais les nuits vont vite se rythmer et vous y aurez gagné beaucoup pour la suite. 



 

L'apprentissage de la propreté.

L'apprentissage de la propreté.

Pour commencer, il est PRIMORDIAL de faire la différence entre "l'apprentissage de la propreté" et "la capacité de propreté"

En effet, un chiot N'EST PAS CAPABLE de se retenir physiquement une journée entière comme le ferait un adulte, c'est physiologique.

Pour rappel, un chiot de 2 mois qui aurait compris la propreté est incapable de se retenir plus de 2h. Un chiot de 3 mois peut difficilement se retenir plus de 3h. Un chiot de 4 mois peut se retenir environ 4h. C’est évidemment une approximation; ces données peuvent varier de plus ou moins 1 heure. Prenez note également que ce calcul fait référence pour le jour seulement, puisque la nuit, le chiot peut se retenir plus longtemps tant qu'il est en phase de sommeil.

Autre point important: On peut observer cette capacité de rétention uniquement lorsque le chiot est dans un espace confiné (Exemple: Parc à chiot) afin de profiter de son instinct naturel de ne pas souiller son espace de repos. Avec un chien en liberté, on ne peut appliquer ces données de capacité de rétention car le chiot n'aura pas l'instinct de se retenir s'il peut faire librement ses besoins à distance de son espace de couchage.



En bref, un chiot a généralement compris la propreté dès l'âge de 3-4 mois, sans soucis si on lui l'explique correctement. Mais entre comprendre et appliquer, tout dépend de votre organisation au quotidien. 



Pour faire simple, à 99% des cas, dès qu'un chiot se reveille, il aura envie d'aller faire ses besoins. Si vous êtes présent et capable de le sortir dès qu'il se reveille, vous limiterez à 99% les accidents et très vite votre chiot aura envie d'aller dehors faire ses besoins car vous aurez mécanisé cette action (réveil = pipi) et associé l'action a un lieu (pipi = dehors). Chaque besoin fait dehors doit être grandement récompensé. Rappelez vous qu'un chiot n'a pas envie de mal faire et que la propreté n'est pas innée pour lui. Alors n'ayez pas peur d'en rajouter des tonnes en félicitant tout besoin fait dehors, votre chiot associera vite que la propreté est récompensée. Il y aura évidemment des accidents, alors armez-vous de patience et ignorez tout besoin fait à l'intérieur, remettez votre chiot dehors, et récompensez tout besoin fait dehors. Punir et porter de l'attention à un besoin fait dedans peut vite devenir une erreur, il vaut mieux l'ignorer et nettoyer en l'absence du chiot. Le secret de l'apprentissage très rapide de la propreté c'est votre disponibilité et votre faculté d'observation. Si vous êtes H24 avec votre chiot à son arrivée et que vous le sortez à chaque réveil le temps des premieres semaines, celui-ci sera tout de suite propre. A contrario, si vous êtes au travail toute la journée dans les premières semaines de votre chiot, il tardera à être propre car il n'aura pas la chance d'être sorti à chaque réveil et prendra l'initiative de faire à l'intérieur par incapacité à se retenir et il n'y verra aucun inconvénient comme la propreté n'est pas innée. Attention: Ne jamais gronder un chiot qui aurait fait ses besoins la journée quand vous rentrez le soir ! Il n'y comprendrait RIEN, hormis qu'il se fait gronder quand vous rentrez donc il associerait votre retour à quelque chose de négatif. 



Les chiots plus assidus seront donc "propres" dès 2 mois car vous serez en assitance permanente, jour et nuit depuis leur arrivée, et les accidents seront donc très rares.

La moyenne de "propreté" se situe aux alentours de 3/4 mois si vous êtes suffisament présent avec votre chiot et que vous prenez bien le temps de récompenser cet apprentissage. 

Les plus tardifs se situent autour de 6 mois, si votre rythme de vie ne permet pas suffisament l'apprentissage de la propreté. 



SAVOIR QUAND UN CHIOT VA FAIRE SES BESOINS: 

Observation et supervision sont les deux premiers mots clés dans l’apprentissage de la propreté. Vous devez apprendre à reconnaitre les signes et comportements typiques de votre chiot lorsqu’il s’apprête à éliminer. Habituellement on observe un chiot qui :


  • Tournera en rond;

  • Ira vers la sortie habituelle;

  • Reniflera le sol;

  • Baissera son arrière-train.


Un autre conseil essentiel : être proactif. Certaines actions stimulent grandement l’élimination chez le chiot, donc n’attendez même pas l’apparition de ses signaux, apportez-le au bon endroit après chacun de ces moments :


  • Après la nuit ou en se réveillant d’une sieste;

  • Après avoir mangé;

  • Après avoir bu de l’eau;

  • Après avoir joué.


Un chiot doit absolument avoir accès à l’eau en tout temps, donc plutôt que de lui limiter l’accès pour vous faciliter la tâche, redoubler d’efforts d'observation et d'organisation des sorties afin d’éviter de mettre sa santé en péril.



RECOMPENSER PLUS QUE NECESSAIRE:

Dans la tête du chiot, il n’y a aucune différence entre uriner sur le plancher de bois franc, la céramique, le tapis ou le gazon. Même qu’aller à l’extérieur pour faire ses besoins requiert un effort supplémentaire.

Il faut donc rendre l’extérieur plus attrayant et motivant pour que ce lieu « vaille le détour ». Récompensez tous les besoins faits au bon endroit, pile au moment où le chiot élimine. Si vous attendez de donner la récompense une fois que le chiot est revenu à la maison, même si c’est quelques secondes plus tard, vous récompenserez plutôt le fait qu'il soit rentré plutôt que d'avoir fait ses besoins dehors. Il faut donc accompagner votre chiot à l’extérieur pour renforcer au bon moment le fait qu’il fasse ses besoins à l’endroit souhaité. Même quand il pleut, même quand il fait froid, même quand il y a du vent. Et oui, si vous n'avez pas envie d'aller vous mouiller dehors, pourquoi votre chiot devrait-il y aller et pas vous ?

Une fois que le chiot n’aura plus fait un seul dégât à l’intérieur pendant un minimum de 2 semaines, vous pourrez réduire graduellement les récompenses données à l’extérieur jusqu’à en donner de façon aléatoire.



INDULGENCE, CONSTANCE, ET PREVOYANCE:

Pendant la période d’apprentissage, il est normal que le chiot ait quelques accidents et que vous ayez quelques failles à votre surveillance. L'éducation d'un chiot, c’est 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.

Si vous n’êtes pas en mesure de surveiller activement votre chiot, sortez-le dehors ou mettez le en parc à chiot afin de stimuler sa capacité à se retenir en espace restreint et vous accorder une pause. Si vous êtes en mouvement dans un endroit ou la propreté est de mise, gardez-le en laisse pour l’avoir toujours à l’œil. Vous devez vous absenter: faites-vous remplacer par un proche à qui vous aurez donné les ficelles de votre apprentissage pour qu'il puisse prendre le relai. 

Soyez patients : la durée de l’apprentissage de la propreté varie d’un chiot à l’autre, mais habituellement, si vous appliquez les bonnes méthodes, votre chiot peut être 100 % propre en moins de 4 semaines. 

 

Le mordillement chez le chiot.

Le mordillement chez le chiot.

Pour débuter, il est important de rappeler que le mordillement chez le chiot est un acte normal, et qu'il fait partie intégrante de son développement. Les mordillements sont liés à l'exploration orale, qui consiste à découvrir le monde avec la bouche, chez le chiot comme chez le bébé humain. Leur intensité varie selon les chiots et selon le niveau d'excitation du moment. Aider le chiot à abandonner progressivement ce comportement est une des étapes éducatives du jeune âge, mais les occupations masticatoires font partie des principales activités des chiens, même adultes. On ne peut donc pas les empêcher de mordiller et de mâchonner mais on doit les diriger vers autre chose, comme leurs jouets ou des friandises d'occupations à mastiquer (sabots de veau.. ). En effet, le jeune chiot doit vite apprendre qu'il ne doit pas vous mordiller en tant qu'humain, et il ne doit pas prendre l'habitude de mâchonner les pieds de votre table basse par exemple. Ce besoin doit alors être redirigé régulièrement. Là encore, il ne s'agit pas de se fâcher car le chiot ne comprendrait pas, mais plutôt de solliciter l'action avec un autre jeu; et transférer cette habitude de mordillement aussi régulirement que possible vers ce qui est autorisé. Très rapidemment, le chiot ira chercher de lui même les objets qu'il a le droit de mâchonner si vous faites preuve de suffisament de clarté et de tolérance envers ce besoin naturel. Il faut faire la différence entre le besoin d'exploration qui consiste à vouloir tout porter à la bouche, et l'envie de destruction. 

 

Les bêtises et la destruction.

Les bêtises et la destruction.

Les principales raisons d'un chien qui dégrade (ou aboie) sont tout simplement l'ennuie ou l'anxiété. Il faut savoir que la notion de "bêtise" n'existe pas chez le chien, il se contente de faire ce qui lui procure un certain bien-être ou l'assouvissement d'un besoin. Un chien qui dégrade ou qui aboie en votre absence est un chien qui s'ennuie et qui passe le temps comme bon lui semble. 

Les chiens ne font pas de bêtises exprès et ne vont pas se rendre compte après coup de ce qu’ils ont fait. Ils réagissent de manière instinctive à une souffrance, généralement causée par un décalage entre leurs besoins et leur mode de vie. Afin de trouver la cause du problème, vous devez étudier la situation : mon chien détruit-il son environnement lorsque je suis là ou bien lorsque je suis absent ? Quelles activités lui sont-elles proposées pendant la journée ? Combien de temps par jour reste-t-il seul ?

La destruction pour attirer votre attention:

Si votre chien dégrade son environnement quand vous êtes là, c’est qu’il veut attirer votre attention. Tout comme pour l’aboiement, il essaie de vous demander quelque chose: un jeu, une promenade, etc. Dans ce cas, rien de très grave, mais vous devez l’éduquer à ne pas communiquer avec vous de cette manière, et surtout veiller à lui proposer suffisament d'activités pour qu'il ne tombe pas dans l'ennui.

Le stress de la séparation et destructions en votre absence:

Si au contraire votre chien détruit quand vous êtes absent, il vit alors certainement mal la séparation. Les raisons de ce mal-être peuvent être aussi bien de l’ennui, que de la peur, de la frustration, etc. Un chien qui est anxieux à cause de la séparation va automatiquement détruire la première chose qu’il trouve dans la maison après votre départ. Ce comportement est un signe de détresse qu’il n’arrive pas à gérer. Il est donc important de lui apprendre à rester seul progressivement sans créer de traumatisme. 

L’ennui et le manque d'activité

L’ennui est la cause la plus courante du comportement destructeur. Votre chien doit s’occuper tous les jours, et pourtant, il n’est pas assez stimulé. Il manque peut-être simplement d’attention et vous devez faire un effort pour mieux vous occuper de lui et redoubler d'imagination pour éviter l'ennui. 

La peur

Il arrive que certains chiens ne contrôlent pas leur peur et les anxiétés du quotidien et traduisent un sentiment de panique par la dégradation de meubles et d’objets. Si votre chien a tendance à détruire les portes et les fenêtres, ne cherchez pas plus loin: il a essayé de sortir. Vous devez donc trouver la source de sa peur et le rassurer.

L’impatience ou la frustration

On parle généralement de frustration par rapport à une habitude. Par exemple, si vous rentrez toujours à une heure fixe, votre chien s’impatientera le jour où vous rentrez à une heure différente et ira mordiller un bout de meuble. Attention donc aux conditionnements de votre toutou. Dans ce cas, vous devez briser les routines.  



Comment gérer le comportement destructeur de mon chien ?

Lorsque vous avez trouvé la ou les sources du mal-être de votre compagnon à quatre pattes, vous pouvez l’aider à aller mieux et donc apaiser, et si possible anéantir, son comportement. 

L’ennui ou la frustration

Si votre chien souffre d’ennui, vous devez évidemment l’occuper. Prenez donc le temps de le sortir plus, de jouer avec lui et de lui donner en général de l’attention - sans tomber dans l’excès. Les petites balades quotidiennes ne suffisent pas forcément. Profitez de vos weekends pour l’emmener se balader à la montagne ou en forêt. Vous pouvez tout aussi bien marcher que faire du vélo ou un jogging, et pourquoi pas, vous baigner. Vous avez aussi la possibilité de vous adonner à des activités spéciales canines : canicross, dog dancing, jeux d’intelligence, tours, etc. Essayez d'eviter la routine et variez les activités sans tomber dans la répétition. 

Donnez-lui également des objets sur lesquels il peut se défouler à la maison - des jouets adaptés ou bien des os à mâcher, grâce auxquels vous pouvez également prévenir les dépôts de tartre. Et pourquoi pas même lui cacher des friandises dans des joeuts d'occupation quand vous vous absentez, pour le distraire quand il est tout seul. Enfin, essayez de ne pas avoir d’horaires trop précis dans le cas où votre chien serait conditionné à vos heures de départ et de retour. 

La séparation ou la solitude

Les problèmes de comportements liés à la séparation sont souvent dus à un trop grand attachement entre le maître et le chien. Vous l’avez peut-être trop chouchouté quand il était chiot ? Vous ne l’avez jamais habitué à rester seul ou avez brusquement arrêté de vous en occuper ? Dans tous les cas, vous devez entraîner votre chien à rester calme pendant votre absence. Pour cela, essayez de lui montrer que vos absences ne sont pas dramatiques et récompensez-le quand il s’est bien comporté. Voici quelques exemples :


  • Faites d'abord des petites sorties de quelques minutes et récompensez-le s’il ne s’est pas empressé de détruire quelque chose. Il est important que les premiers moments de solitude dans la vie de votre chiot ne dure pas longtemps ! Si vous partez pour une journée complète de travail lors de votre première absence, il est certain que le chiot va vivre cela comme un traumatisme. 

  • Ignorez-le quand vous partez et rentrez (même s’il a fait des dégâts). Le "consoler" quand vous partez lui donne une raison d'être triste et amplifie son besoin d'attention, il ne sait pas encore pourquoi mais il lit sur votre visage de la tristesse et vous entrez dans une mauvaise spirale. Le gronder quand vous rentrez est lui offrir de l'attention à ses bêtises, il risque d'y trouver son compte et de recommencer. 

  • Habituez-le à être seul même quand vous êtes là. Vous n'êtes pas obligés d'avoir votre chien dans toutes les pieces de la maison.


Enfin, si vous partez longtemps et souvent, vous pouvez toujours opter pour les services d’un dog sitter ou demander à un proche de venir passer un peu de temps avec lui. 



La peur 

Les problèmes de comportements liés à la séparation sont souvent dus à un trop grand attachement entre le maître et le chiot. Si votre chiot est angoissé, essayez de le rassurer sans rentrer dans l'hyper-protection et dans l'hyper attachement. Vous devez l'aider à découvrir le monde et qu’il se rende compte qu’il n’y a pas de danger. Montrez vous rassurant, calme et persuassif. Ne dramatisez pas. Vous pouvez aussi lui créer chez vous un espace dans lequel il peut se réfugier et où il se sentira plus en sécurité lors de vos absences. 



Comment réagir sur le moment ?

Il est très important de ne pas vous mettre en colère après une crise, quand vous découvrez les dégâts. À moins de l’avoir pris sur le fait, la punition est en effet inutile. Il ne comprendra pas la relation entre votre colère et ce qu’il a fait il y a quelques heures. Vous risquez donc de le stresser, ce qui pourrait empirer la situation et l’encourager à recommencer. L’idéal est de partir faire une promenade avec lui. De cette manière, vous vous défoulez tous les deux. Pendant une crise, le mieux est de le distraire avec un jeu, de la nourriture, etc. Enfin, jusqu’à ce que votre chiot soit stable et bien éduqué, pensez à anticiper les dégâts : rangez vos affaires, placez les meubles et objets précieux hors de portée, etc.

Si vous laissez à sa portée uniquement ses jouets et jeux d'occupation, cela limitera grandement les dégâts et l'habituera à jouer avec ses affaires. Cela vous évitera tout conflit ou frustration en rentrant et vous n'en serez que plus heureux tous les deux. 

Ne surtout pas faire :

  • L’enfermer

  • Lui crier dessus

  • Le punir si vous ne l’avez pas surpris en flagrant délit

  • L’abandonner / le laisser seul en guise de punition


L'apprentissage de la solitude.

L'apprentissage de la solitude.

Comme expliqué dans le paragraphe un peu plus haut, une des bonnes manières d'éviter les destructions liées à l'anxiété de la solitude, c'est d'apprendre la solitude. 

1. Banaliser les rituels de départ et de retour :

Vos départs et vos retours doivent devenir banals pour que cela ne devienne pas un événement qui rende ces faits angoissants pour lui, mais plutôt quelque chose d’ordinaire.

Nous pensons bien faire en lui faisant la méga fête lorsque l'on part ou que l'on revient, mais sans que l’on s’en rende compte, nous pointons du doigt ces événements qui risquent de le monter trop haut en émotion .

Le but n'est pas de l'ignorer totalement mais d'avoir une attitude neutre et calme avant de partir et à notre retour.

2. Instaurer de courtes absences et des faux départs :

Vous pouvez faire des allers retours dans différentes pièces de la maison et à la porte d'entrée afin de voir comment il réagit et lui faire comprendre que les absences ne sont pas toujours longues et que l'humain qui disparaît revient à nouveau. N'hésitez pas à réaliser la mise en scène d'un vrai départ (chaussures, manteaux, clés de voiture..). 

Il faut être progressif dans les exercices afin que votre chiot soit toujours dans une bonne émotion lorsqu'il vous regarde faire. S'il se met à émettre des signaux de stress, à aboyer, pleurer c'est que vous êtes allé trop vite dans l'apprentissage et qu'il n'est pas encore prêt pour cette l'étape, revenez en arrière et recommencez progressivement.

Sans que l’on ne s’en rende compte, les chiots, tout comme les chiens adultes, nous observent énormément et finissent par identifier nos faits et gestes et les associer à différentes situations.

C’est pour cela que faire ces gestes (mettre la veste et les chaussures pour aller au travail, prendre les clés de voiture, etc) tout en restant à la maison ou alors juste pour de courtes absences comme aller à la boîte aux lettres ou sortir les poubelles permettent de banaliser ces allers et venues.

3. L’habituer à rester seul dans une pièce

Lors de vos absences, vous allez peut-être laisser votre chiot dans une pièce en particulier afin qu'il soit seul en sécurité. Avant que cela ne se fasse, associez cette pièce à quelque chose de positif et mettez-y un couchage confortable, une gamelle d’eau, de quoi s’occuper avec des jouets qu’il apprécie. Vous pouvez également venir y jouer avec lui et travailler petit à petit le fait de rester seul dans cette pièce. Habituez-le à y rester seul même quand vous êtes présent dans la maison afin que cela devienne ordinaire et non un signal de départ. Il faut que cette pièce soit associée à sa zone de confort et non à une punition ! Soyez vigilait sur la manière dont vous introduisez cet endroit. 

4. Favoriser l'autonomie et enrichir son environnement

Proposez-lui des activités qu’il puisse faire seul pour lui permettre de gagner en autonomie même en votre présence.

Vous pouvez également lui donner le choix dans diverses situations du quotidien afin qu'il gagne en confiance (lui laisser la possibilité de choisir entre plusieurs mastications, le choix d'une direction en promenade, etc)

N'hésitez pas à enrichir son environnement avec des jouets, de la mastication adaptée afin qu’il trouve de quoi s’occuper lorsqu'il est seul.

Réservez-lui des jouets qu’il adore lors des moments d’absence, mais pas toujours les mêmes, pour éviter qu’il les associe à vos départs ou qu'il s'en lasse.

Procédez à ces petits exercices tous les jours pour que l’apprentissage soit durable et n’oubliez pas d’être progressif dans les exercices, n’allez pas trop vite, respectez toujours le seuil de tolérance de votre chiot et restez calme et serein en toute situation. Mettez toutes les chances de votre côté pour que votre chiot soit dans les meilleures conditions avant de se retrouver seul (dépense mentale et physique comblés selon ses besoins mais éviter les dépenses excitantes avant les absences car il aura certainement plus de mal à retrouver son calme dès lors qu'il se retrouvera seul, promenade sanitaire faite, environnement enrichi, etc.) Le meilleur moyen de passer le temps d'absence, c'est une bonne sieste si le chiot est dans de bonnes dispositions. 

Quelques idées d'activités pour stimuler et occuper votre chien.

Quelques idées d'activités pour stimuler et occuper votre chien.

Vous avez pris un chiot et vous souhaitez faire au mieux pour respecter ses besoins, l'occuper et le stimuler pour créer un bon équilibre dans sa vie de tous les jours et éviter les angoisses et les destructions à répétition ? Vous allez devoir faire preuve d'imagination et enrichir son quotidien pour lui offrir les meilleures activités possibles. Occuper son chien est essentiel pour son bien-être, mais saviez-vous que chercher à le depenser physiquement n'est pas toujours une bonne idée ?

En effet, en cherchant à le fatiguer physiquement, vous rendez votre chien endurant ! Cela signifie qu'un footing d'une heure avec votre chien suffira à le fatiguer le premier jour, mais que vous devrez lui en offrir deux heures le deuxième jour et ainsi de suite. Votre chien très vite bien plus endurant que vous. En plus des risques physiques que cela comporte pour un chiot en pleine croissance, défouler votre chien physiquement ne sera ni suffisant ni adapté pour subvenir à ses besoins d'occupation. En effet, pour préserver son squelette, il vous sera recommandé d'éviter les sorties trop sportives dans un premier temps. 



Oui, les sorties en extérieur sont à privilégier autant que possible. Mais il ne s'agit pas d'aller courrir un marathon pour fatiguer son chien ! Laissez-le flâner à son rythme et flairer à volonté. Il passera une grande partie de sa sortie à pister, et qu'on se le dise, c'est une de ses activités favorites ! Evidemment, vous devez garder le contrôle et il n'est pas question que votre chien vous oublie complètement, mais respectez ses besoins fondamentaux et laissez-le mettre le nez par terre. Une manière simple et efficace de stimuler l'esprit lors de vos sorties. Variez les lieux et offrez-lui des environnements variés avec beaucoup de choses à découvrir. Vous pouvez le faire rencontrer d'autres chiots, ou chiens sociables, ne vous en privez pas, il sera enchanté de rencontrer des copains ! Jeux extérieurs en tous genres (attention avec les jeunes chiots en croissance), bâtons, balles, jeux de recherche... Avec parsimonie pour ne pas rentrer dans de la dépense physique pure et dure. Soyez créatifs et respectez le rythme de croissance de votre chien. Il y a une multitude d'activités à faire en extérieur qui régaleront votre chiot. 



Mais qu'en est-il pour les jours où les sorties ne sont exceptionnellement pas possibles ? 



Quels jouets d’occupation choisir pour lui offrir une dépense qui aidera à réguler son énergie ? De nombreuses solutions existent pour occuper son chien à l'intérieur et respecter ses besoins:

LES TAPIS DE LÉCHAGE : PROPOSER UNE OCCUPATION STIMULANTE ET GOURMANDE

Lécher est un comportement naturel et instinctif chez le chien. Les tapis de léchage (aussi appelés lickmats) sont des jouets d’enrichissement alimentaire qui favorisent le calme. Ces tapis texturés piègent la nourriture pour que la langue vienne en chasser les morceaux. Facilement lavables, simples d’utilisation et de préparation, les lickmats offrent de nombreux bienfaits. Ils octroient une occupation lors des moments d’absence, des instants d’ennuis ou de tous événements stressants. Cette activité gourmande et amusante permet d'éviter le surpoids et l’obésité. Votre chien profite plus longtemps et sainement d’une friandise. Les tapis de léchage proposent une occupation qui lutte contre le stress, l’anxiété et l’ennui en votre absence ou en votre présence. De quoi occuper votre chien plusieurs heures. Vous pouvez aussi augmenter la difficulté en optant pour des jouets à fourrer (jouets Kong).

LA MASTICATION : DÉPENSER SON CHIEN MENTALEMENT

Ronger et déchiqueter demeurent des besoins fondamentaux pour votre chien. Saviez-vous que les muscles de sa mâchoire sont conçus pour la mastication ? Cet exercice représente un enrichissement indispensable dans sa vie. Bien que cette pratique s’effectue dans des positions relaxées, mastiquer équivaut à une grande dépense énergétique — même si rien ne remplace les promenades quotidiennes à l’extérieur. Elle offre également une bonne hygiène bucco-dentaire en prévenant la formation de tartre qui se révèle très nocive. L’action de ronger pour se nourrir correspond à une occupation saine qui libère de l’endorphine et de la dopamine, les hormones du bien-être et du bonheur. En plus d’aider votre animal à appréhender ses émotions, la mastication possède un rôle important dans la digestion avec une forte production de salive, mais aussi une sensation de satiété qui limite les troubles alimentaires. Elle soulage les gencives douloureuses du chiot lors de la pousse des dents. Il s’agit également d’une dépense qui développe les muscles de sa mâchoire et lui permet de découvrir son environnement. Cet enrichissement trompe l’ennui, baisse le stress, apaise votre chiot et sauve vos meubles au cours de l’apprentissage canin. À vous de choisir la mastication adaptée à votre chiot ou à votre chien comme des bois de cerf, des sabots de veau, des oreilles d'agneau ou du bois d'olivier. Attention, ne le laissez jamais sans surveillance avec ces activités masticatoires.

3. LES DISTRIBUTEURS DE FRIANDISES : OCCUPER SON CHIEN MENTALEMENT ET PHYSIQUEMENT

Généralement sous forme de balles, les distributeurs de friandises offrent une double stimulation à votre chien. Il doit pousser et faire rouler le jouet pour obtenir les gourmandises ou les croquettes. Mais, votre chiot doit également réfléchir à la meilleure façon d’agir pour sortir la nourriture et ainsi recevoir sa récompense. Cette dépense permet de combattre l’ennui tout en effectuant de l’exercice physique et de la réflexion mentale. Votre chien deviendra vite fan des distributeurs de friandises qui le plongeront dans une exploration alimentaire. En effet, il réalise sa recherche de repas par la chasse sous la forme d’un parcours mobile en suivant l’enrichissement. Vous pouvez remplir cette occupation avec des friandises à tout moment de la journée pour offrir de l’exercice à votre chiot. Si le temps ne vous permet pas de sortir, cette activité saura canaliser l’énergie de votre chiot. Cette dépense accroît les facultés cognitives de votre chien tout en aidant à conserver sa santé physique. Comment choisir le distributeur pour occuper son chien ? Il doit être robuste, car il risque de subir des coups de pattes et de dents, mais aussi des chutes. Aux moindres doutes ou endommagements, n’hésitez pas à retirer le distributeur et à le remplacer. 

4. LES JOUETS D’INTELLIGENCE : PARTAGER UN MOMENT COMPLICE AVEC SON CHIEN

De diverses tailles, de diverses catégories et de divers niveaux, les jouets d’intelligence ne doivent pas être laissés lors de vos absences. Composé de différentes petites pièces, il serait dangereux sans surveillance. Néanmoins, cette activité demeure un excellent choix pour occuper votre chien en intérieur et lui offrir un enrichissement. Les jeux d’intelligence vous permettent de vivre un moment complice avec votre chiot qui renforce votre lien. Cette stimulation mentale consiste à cacher des friandises sous des trappes ou tiroirs que votre chien devra ouvrir en se servant de sa réflexion. La durée de l’occupation dépend du niveau du jouet d'intelligence et du niveau de votre chien. Il passera plus ou moins de temps à trouver comment atteindre ses croquettes. Cette dépense demande une grande concentration à votre animal et stimule son esprit. Elle pousse les chiens à réfléchir pour avoir le plaisir d’obtenir une récompense. Simple d’utilisation, cette activité atténue l’ennui de votre compagnon tout en stimulant sa curiosité pour son environnement. De votre côté, vous aurez le loisir d’observer votre chien dans cette découverte. Vous pourrez également l’encourager vers la réussite et le guider pour que cet instant devienne un moment de partage avec de la joie et un renforcement des liens.

5. LES JOUETS NOSEWORK ET TAPIS DE FOUILLE

Saviez-vous que la truffe représente le troisième œil du chien ? Eh oui, l’odorat se révèle être leur sens le plus important. Il leur permet d’obtenir des informations essentielles. Voilà pourquoi votre toutou aime passer ses promenades la truffe au sol. Au-delà de l’aider à percevoir le monde, utiliser ce sens est un besoin naturel. Pour son équilibre psychologique, son bien-être et son moral, les activités de découvertes olfactives demeurent indispensables. Les  tapis de fouille représentent d’ailleurs deux excellents moyens de combler ce besoin. Cet enrichissement encourage les capacités cognitives de votre chien. Il développe des compétences naturelles de recherche avec le flair. Cette dépense intellectuelle ressemble à un jeu pour votre compagnon et lui apporte un réel plaisir. Employés pour distribuer des friandises, les nosework et les tapis de fouille servent à appréhender le calme, car ils demandent de la concentration. Utilisée pour donner les croquettes, cette occupation stimule tout en ralentissant l’ingestion du repas. Ce jeu d’intérieur contribue à gérer la frustration, faire diminuer le stress, favoriser le sommeil et lutter contre l’ennui. Cet enrichissement environnemental éveille les sens et offre une grande autonomie à votre animal. Pour les chiens anxieux, cette activité ludique peut opérer des merveilles. Vous pouvez bien évidemment recourir à ces occupations en extérieur quand le temps le permet. L’herbe devient alors un gigantesque tapis de recherche.

6. LES JOUETS INTERACTIFS : LUTTER CONTRE L’ENNUI

Parmi la gamme disponible, les jouets interactifs proposent un accessoire tout-en-un pour occuper votre chien. En effet, ils représentent une occupation quatre en un pour votre animal de compagnie. Composés d’une peluche principale, ils sont également constitués de deux ou trois autres petites peluches qui couinent et stimulent l’ouïe de votre chien. En plus d’être ce pouic-pouic à lancer dans votre jardin et un éventuel doudou pour les siestes de vos animaux, cet enrichissement offre la possibilité de parties de cache-cache gourmand. Vous pouvez ainsi masquer des friandises à l’intérieur de chaque jouet. Votre chien devra alors utiliser son odorat sensationnel pour une partie de chasse sportive faite de patience et d’habileté. Plus qu’une simple peluche, ce jeu stimule l’intelligence et l’agilité de votre chiot. L’ennui sera rapidement trompé grâce à ces jouets interactifs et votre chiot pourra apprendre à mieux se servir de son nez. 



Mais, n’oubliez pas : même avec ces astuces pour offrir de l’occupation à son chien, les promenades à l’extérieur demeurent essentielles pour son bien-être. Ces différents jouets ne représentent qu’une aide supplémentaire pour faire face à diverses situations et vous aider à améliorer la santé et le comportement de vos animaux.

Attention: Tous ces jouets qui s'utilisent avec des croquettes ou des friandises contribuent à l'alimentation de votre chien. Si vous les utiliser, pensez à équilibrer proportionnellement les rations quotidiennes pour éviter le surpoids. 

 

Connaître les signaux d'apaisement.

Connaître les signaux d'apaisement.

Comment définir un signal d'apaisement ?

Avant toute chose, il est important de définir ce qu’est un signal d’apaisement. Les signaux d’apaisement sont un ensemble d'attitude, d'expressions et de postures que le chien va adopter pour faire passer un message entre congénères ou avec nous lors d’une situation d’inconfort, de stress ou même lors d’une partie de jeu. Le chien va émetre des signaux d'apaisement pour éviter un conflit ou détourner une situation qui le mettrait mal à l'aise. Ces signaux d'apaisement ne sont pas réalisés consciemment par le chien, mais instinctivement. On oublie donc l'idée que le chien agit avec préméditation et "se moque de nous" ou "fait semblant". 

Comprendre et bien lire notre chien nous permet de faire en sorte qu’il ne soit pas dans un état émotionnel trop haut et ainsi éviter qu’il n’en arrive à grogner ou au pire, à mordre par la suite. 

Quels sont les signaux ?

Nous allons énumérer les principaux signaux d'apaisement que nous voyons courament chez nos chiens, mais la liste est exhaustive et à prendre avec précaution dans l'interprétation en fonction des situations: 


  • Bâiller (votre chien n’est pas forcément fatigué s’il bâille).

  • Détourner la tête.

  • Cligner des yeux.

  • Se lécher la truffe.

  • Haleter sans lien avec la chaleur ou un effort physique. Le chien montre clairement un état de stress ou de gène ou de douleur.

  • Lever un antérieur (attention cependant, à certains chiens de chasse qui se mettent ainsi quand ils ont senti un gibier).

  • Des tensions faciales et musculaires.

  • Se secouer.

  • Arriver en courbe.


La plupart de ces signaux sont souvent mal interprétés par l’humain qui pense que le chien « se moque de lui ». Et pourtant, il faut savoir que ces signaux sont au contraire la preuve d’un bon équilibre de la part de votre chien, qui s’exprime en étant « poli » avant de grogner et mordre.



Prenons un exemple que nous voyons beaucoup à l’heure actuelle : 

Vous êtes en train de caresser votre chien et celui-ci se lèche la truffe pour manifester son inconfort et détourne la tête. Innocemment, vous continuez de le caresser sans vous rendre compte qu’il ne vit pas très bien la situation. Celui-ci décide donc de grogner pour que la situation cesse. Et vous décidez de le punir. La fois suivante, il grognera juste quand il verra une main s’approcher de lui pour anticiper la caresse qu’il ne souhaite pas.

 Le grognement est aussi un signal de communication clair de la part du chien, qui exprime seulement son mal être dans la situation qu’il vit à un moment précis. Nous avons tendance à gronder notre chien quand celui-ci grogne alors que c’est la pire chose à faire. Pourquoi ? Tout simplement car si nous grondons notre chien quand celui-ci exprime son mal être, il comprendra qu’il n’a pas été écouté et il passera donc à la morsure sans prévenir la prochaine fois.

Il est donc primordial et très important de s’intéresser aux signaux d’apaisement (ou de communication) du chien. C’est la base de tout quand on décide de prendre un animal, réussir à dialoguer avec lui. C’est également à nous de comprendre leur comportement afin de réussir à cohabiter ensemble de façon saine et sereine.